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Tout sur le Trekking : les origines, l’économie, l’écologie

Les origines du Trek

Qu’est-ce que le Trekking ?

Cette pratique se traduit par une randonnée itinérante dans des régions montagneuses sur plusieurs jours. L’objectif, aller d’un point A à un point B ou de partir d’un point départ et rejoindre tout ça sur une durée de quelques jours. C’est justement la notion de durée qui va différencier cette pratique à la simple randonnée classique qu’on a tous déjà pu exercer. Si vous êtes un novice dans la matière vous pouvez simplement comparer le trekking à une grande randonnée. La spécificité de ces randonnées est caractérisée par les bivouacs étant donné que les itinéraires représentent parfois une centaine de kilomètres, il est donc nécessaire pour les trekkeurs (randonneurs) de rejoindre ces bivouacs pour se reposer et y passer la nuit avant de passer aux prochaines étapes. L’objectif avant tous du trekking c’est de découvrir de nouvelles choses, des pays, des cultures, des paysages, la nature, des personnes… Mais c’est aussi se surpasser et se dire que c’est possible d’atteindre nos objectifs.

Niveau de difficulté : Le trekking est plus difficile que la rando mais moins difficile que l’alpinisme. C’est donc un bon entre-deux si vous souhaitez débuter l’alpinisme même si cette discipline est plus proche de la randonnée que de l’alpinisme.

Un point sur l’histoire du Trek

D’où vient le Trek ? Son étymologie nous permet de retrouver ses racines. Trek signifie migration en néerlandais et vient du verbe « trekken » qui se traduit par marcher. C’est un épisode majeur de l’histoire sud-africaine qui a rendu ce terme célèbre. Au début du XIXème siècle des paysans hollandais devenus afrikaners (Sud-africain blanc d’origine néerlandaise) partent à la recherche de plaines au Nord-Est pour s’y installer. Cette migration est alors nommée « Le Grand Trek » en faisant faces aux risques naturels, par la suite le terme « Trek » a alors été rendu célèbre.

Quand les premières pratiques du Trek ont-elles commencées ?

C’est dans les années 50 qu’on a pu commencer à voir les premiers Trek au Népal. Ces années ont été marqués par l’alpinisme, le sport de montagne était entrepris par tous les plus courageux car le matériel était moindre et la pratique restait une découverte et très dangereuse. C’est en modifiant un itinéraire d’alpinisme que des randonneurs ont empruntés différents sentiers pour réaliser ce premier Trek dans les années 1960. Cette randonnée sur plusieurs jours à officialisée la pratique du Trek.

Le Trek aujourd’hui c’est quoi ?

Aujourd’hui la pratique reste la même qu’à l’époque, cependant pour encourager à exercer cette activité différents Trek ont été dessinés pour permettre à toutes catégorie de personnes de pratiquer ce sport. Débutant, amateur ou pro, vous pouvez trouver des treks avec un itinéraire plus ou moins long avec des sentiers moins ardus. Des agences spécialisées mettent à disposition des Treks nécessitant pas forcément de grands efforts physiques pour permettre à tous les niveaux de la pratiquer, contrairement au début du Trek où peu d’itinéraires étaient connu et mis à disposition pour tous les niveaux. De plus aujourd’hui il existe beaucoup d’options d’hébergements pour les trekkeurs comme les tentes, les refuges, les gites, les hôtels et puis il reste tout de même l’option la plus économe de l’hébergement chez l’habitant. En bref plusieurs alternatives s’offrent aux trekkeurs que ce soit dans le choix de l’hébergement ou de l’itinéraire. Ce sport a tout simplement étendu les capacités physiques requises pour l’effectuer et ainsi le Trek est aujourd’hui ouvert à TOUS.

L’environnement économique du Trek

De plus la randonnée est le premier exercice physique pour les Français lorsqu’ils sont en vacances. C’est effet est dû aux sorties en famille pour passer du temps de qualité ensemble ou entre amis. Selon des données de 1998 et 2000, il y a 6 millions de Français de plus de 15 ans qui pratiquent la randonnée. Ce sont principalement des citadins, âgés de 35 à 64 ans mais à noter que de plus en plus de jeunes de moins 30 ans s’initient à la pratique.

En raison de son grand succès dans une large tranche d’âge, le marché de la randonnée a produit et inspiré de plus en plus de fabricants. Certaines marques textiles se spécialisent dans la randonnée, et certaines autres marques textiles produisent des gammes de produits ou des éditions limitées liées à la pratique. Avec le développement vigoureux de l’industrie, cette approche est à la mode, par conséquent, l’innovation est essentielle.

C’est pourquoi les marques vont doubler leurs imaginations pour attirer les randonneurs débutants ou confirmés qui souhaitent découvrir cette activité. À cette fin, les propriétaires de marques continuent de créer de nouveaux produits plus pratiques et innovants, comme des chaussures de randonnées qui allient confort, légèreté et respirabilité, et même des t-shirts en matières dryway pour vous garder au sec et évacuer la transpiration plus facilement. Cela a forcément un prix ! C’est pourquoi le marché de la randonnée est un vrai business.

Le Trek un vrai business de consommation de masse

Aux yeux de tous, il est difficile de se douter que la randonnée nécessite un équipement et génère une activité florissante, que ce soit le GPS, les chaussures, les vestes, les jumelles… il faut être équipé avant de faire un grand pas. Autrefois cette pratique pouvait être associer aux plus âgées mais cette activité à succès est désormais en vogue et attire de plus en plus de monde. De plus, le matériel et les équipements ne sont pas seulement essentiels, ils créent eux-mêmes un réel business pour les entreprises.

Vous pourriez penser que le budget pour la randonnée n’est pas excessif. Quelques vêtements chauds et une bouteille d’eau feront l’affaire ! Et bien, non! Il faut se rendre à l’évidence, quelques affaires ne suffisent pas pour préparer une randonnée. Cette activité nécessite une organisation minimale et un équipement très important, tel que : tente, sac à dos, GPS, lumière, couteau ou hache, savon, dentifrice, douche portable, gecko, couverture de survie, chauffe-mains, moustiquaire, cuisinière, sac étanche… plus tous les vêtements de montagne indispensables pour un minimum de confort, si vous faites la sommes de tous ces articles, alors forcément vous allez prendre peur ! En fait, vous devez prévoir plus d’équipement que vous ne le pensez … des simples gadgets à la pommade contre les piqûres de moustiques. Et parce que les achats augmentent, les prix augmenteront inévitablement, c’est la loi de l’offre et la demande.

Le prix moyen d’un équipement varie beaucoup en fonction des marques choisis, puis cela dépend aussi de vous, si vous vous contentez du strict minimum ou si vous vous permettez un petit confort matériel. Le prix du matériel pour une Trekking peut varier entre 300 euros et plus de 1000 euros, ces chiffres peuvent vous paraitre aberrants mais n’oublié pas que ce matériel ne se change pas tous les ans et que dans ces prix nous comprenons du matériel de randonnée comme le sac à dos, la gourde et les vêtements.

Voici une petite liste du matériel nécessaire à la pratique du Trekking.

Les acteurs principaux jouant un rôle sur l’évolution du trekking

Le marché des agences de voyage

Aujourd’hui, il existe un grand nombre d’agences spécialisées dans le Trekking. Malheureusement, il est difficile de toutes les citer puisque beaucoup ont fait leurs apparitions avec internet et étant donnée la facilité de créer un site web de nos jours, vous pouvez imaginer la quantité d’agence. Ce marché ne cesse d’évoluer depuis ces dernières, en 2016, on compte 4800 structures de voyage (spécialité trekking compris), réalisant un chiffre d’affaires total de 11,8 milliards d’euros. Un marché qui avait déjà été impacter par la crise de 2008, l’activité du secteur s’est montrée très dynamique avant celle-ci : +5,9% de croissance moyenne annuelle entre 2000 et 2008 puis +3,4% après entre 2011 et 2016. Un marché qui reste en évolution cependant la nouvelle crise du COVID19 à fortement impacter cette ascension. Le marché à perdue près de 50% par rapport au CA réaliser les années précédentes, un coup dur pour le marché des agences de voyage mais qui atteint finalement peu le marché de la randonnée/trekking par rapport à ce qu’ont auraient pu croire, la randonnée est devenue un moment rare et précieux pour maintenir le lien social après cette crise et même si les pertes sont élevées, le secteur de la randonnée repart de plus belle depuis ces dernières semaines.

Listes des agences spécialisées à la pratique du Trekking :

  1. Terre d’Aventure 
  2. Allibert Trekking 
  3. Nomade Aventure 
  4. Atalante l’esprit Trek 
  5. Huwans Club Aventure 

Le métier de guide

Vous aimeriez être guide accompagnateur ?

Leurs rôles vous le connaissez surement, encadrer et accompagner les touristes sur de courts séjours afin qu’ils découvrent tout type de paysages à travers des activités. Cependant ce métier demande différentes compétences et qualités pour assurer ces responsabilités.

Premièrement, vous imaginer bien qu’il faut une bonne condition physique pour tenir en endurance, mais pas seulement il vous faudra aussi une aisance relationnelle, un bon rapport à la pédagogie, la capacité être concentré et vigilant en permanence, avoir un sens des responsabilités et surtout l’esprit d’équipe et des connaissances des milieux naturels pour éviter les problèmes environnementaux.

Il vous faudra aussi un diplôme qui autorise ces accompagnements, voici les formations permettant d’exercer le métier de guide :

  • BPJEPS, option nature ou environnementales
  • BPJEPS, spécialité loisirs tous publics

Plus d’info sur le métier de guide.

Les refuges

Il est toujours constructif de s’intéresser aux refuges lorsque nous faisons du trekking, même nous ne sommes pas les premiers utilisateurs de ces refuges ils constituent tout de même notre activité.

Nous allons donc faire un petit point sur les refuges en montagnes :

Sur l’ensemble des massifs français, nous identifions un total de 261 refuges avec des conditions d’accès différentes. Effectivement ces établissements ne sont pas tous accessibles de la même manière, c’est pourquoi je vous propose d’identifier les différents accès de 261 refuges :

  • 205 de ces refuges sont accessibles seulement par les sentiers ou chemins.
  • 34 sont accessibles par la circulation publique en été.
  • 18 refuges sont abordables par des itinéraires de haute montagne contenant des zones glacières ou passages d’alpinisme.
  • Et 4 sur ces 261 refuges sont disponibles l’été par des remontées mécanique.

On compte 225 refuges organisés avec un service client comprenant le service pour le repas… Et les 36 autres refuges souvent en hautes montagnes sont simplement surveillés par du personnel sans service derrière.

Mais qui sont les propriétaires de ces refuges ? la Fédérations des Clubs Alpins Français détienne 92 de ces établissements, il représente seulement 35% du nombres de refuges mais reste un des plus importants propriétaires. Les refuges restants sont gérés par le Parc national de la Vanoise, le Parc naturel de la Corse et répartie sur un grand nombre de collectivités locales, des associations ou en encore des particuliers.

L’écologie, un point essentiel à la pratique du Trek

Aménagement et entretien de sentiers de randonnée

Pour de nombreux visiteurs de plein air, notamment les randonneurs, les coureurs de fond, les vététistes et les cavaliers. Les sentiers sont une composante essentielle de l’expérience de plein air. Les sentiers favoris nous mènent souvent à des points de vue étonnants, à des campings idylliques et à des lieux de baignade inoubliable. C’est pourquoi lorsque nous pratiquons ces activités nous devons être vigilant avec la nature.

N’oubliez pas que les sentiers se dégradent avec le temps et nécessitent un entretien constant. En concentrant la circulation sur une voie étroite, les sentiers contribuent à protéger les zones naturelles en limitant le piétinement de la végétation et la perturbation de l’habitat que les déplacements hors sentier entraînent parfois. Par exemple les sentiers dits « sentiers sociaux » créés par les utilisateurs peuvent manquer de caractéristiques importantes de sentiers bien conçus. Ces sentiers entraînent une érosion plus importante et des impacts accrus sur les plantes et les animaux. Il peut s’écouler de 10 à 30 ans pour qu’un écosystème se remette d’une randonnée ou d’un camping hors-piste irresponsable en vue du futur de la nature.

En France certaines collectivités et organismes public mettent en œuvre le programme départemental de maintenance des sentiers. L’objectif, soutenir les opérations d’aménagement et d’entretiens des sentiers de randonnée dans le cadre du PDIPR (Plan Départemental des Itinéraires de Promenade et de Randonnées). Ce qui consiste à réaliser des travaux de balisage, de poser des signalétiques, débroussaillée, élagage et même de terrassement.

Voici quelques montants :

Les taux d’interventions des départements sont fixés à 50 % du montant total hors taxes des travaux. Le montant total des travaux subventionnables est plafonné à 80.000 € HT pour les groupements de communes et 10.000 € HT pour les communes qui n’ont pas transférés leurs compétences à leur intercommunalité. En forêt, les travaux sont réalisés sous maîtrise d’ouvrage de l’Office National des Forêts (hors balisage et pose de la signalétique). Les travaux sont financés à 30 % par l’ONF, 35 % par le Conseil départemental, 35 % par la collectivité locale.

Qu’est-ce que le trekking responsable ?

Si vous ne connaissez pas le « Leave no trace », il est grand temps de le savoir !

Le concept est simple ne laisser aucune trace sur votre chemin. Dans un premier temps pour la protection de la nature puis pour les prochains qui vont passer derrières vous, c’est toujours plus sympa lorsqu’on est en contact avec la nature et non pas avec les déchets.

Ce devoir repose sur 7 principes à respecter :

  1. Planification et préparation de l’itinéraire

Préparer vous pour éviter les risques pendants l’activité, adapter vos capacités à un itinéraire et renseignez vous sur les lois locales si vous voyagez. Si vous êtes dans des zones touristiques évité les périodes à forte fréquentation pour éviter de sortir du sentier balisé, en suivant le sentier à lettre vous n’abimerez pas la végétation et par conséquent la nature.

2. Camper sur des surfaces durables

Pour préserver la pratique du trekking ainsi que la nature, chaque personne passant par-là doit comprendre comment se déplacer en montagnes pour éviter d’abimer les écosystèmes. Pour cela éviter de marcher sur la végétation car, elles sont souvent piétinées au point où elles ne peuvent plus se rétablir et entraine l’érosion du sol.

De même pour le campement, attention essayer au maximum de vous installer sur une zone où la végétation n’est pas présente. L’idéal est de camper à 60 mètres minimum d’un point d’eau sinon vous risquez d’introduire des déchets polluant comme des micro-plastiques ou des déchets alimentaires.

3. Eliminer les déchets

Pour éliminer correctement vos déchets nous avons plusieurs astuces. La meilleure méthode pour vos besoins reste le trou, creusez un trou d’environ vingt centimètres, faites votre affaire et rebouché en recouvrant de quelques branches. Sinon vous prenez du papier toilette et surtout vous pensez bien à le garder avec vous dans une poubelle, de même pour les emballages ou les peaux de bananes par exemple.

4. Laisser ce que vous trouvez

Ne construisez rien car cela pourrait avoir des répercussions sur la zone naturelle, ne coupez pas les branches et ne mettez pas de clous sur les troncs d’arbres.

5. Réduisez les effets négatifs des feux de camps

La sur utilisation des feux de camps sont néfastes pour la nature, préconisé les équipements comme les réchauds, c’est rapide, éliminent les problématiques des feux de camp traditionnel, comme le réapprovisionnement du bois et surtout laissent aucune trace.

6. Respecter la flore et faune

Nous sommes sur le territoire des animaux alors respectons leurs cadres de vie ! C’est à nous de ne pas les déranger, donc nous devons les observer de loin pour ne pas les effrayés ou les forcer à fuir. Eviter les vibrations c’est ce qui les fait fuir, ne leurs donné pas à manger et ne les ramasser pas s’ils sont morts car ils peuvent avoir des maladies.

7. Être attentif aux autres visiteurs

Faites preuve de courtoisie avec les autres visiteurs pour que tous le monde profite de son aventure en plein air et éviter les cris sauf en cas de danger pour laisser tout le monde apprécie les bruits de la nature.

Faire du trekking en France

Le réglementation du bivouac et du camping sauvage en France

Il est possible de camper, mais est-ce possible de partout ? Les restrictions sont nombreuses, il est nécessaire d’en prendre connaissances pour planifier ces escapades. Tout d’abord définissons la différence entre le Bivouac et le camping sauvage :

Le Bivouac correspond à installer son campement pour une nuit seulement, du coucher du soleil au lendemain matin.

Le camping sauvage contrairement au bivouac permet de s’arrêter au même endroit pendant plusieurs jours dans des milieux hostiles non préparé pour le campements.

Les restrictions s’imposes principalement sur les lieux de campements, de nombreux emplacements sont interdits aux campeurs, tels que :

  1. Les routes et chemins publics
  2. Les bords de mer
  3. Les forêts, bois et parcs classés comme espaces « à conserver » ou comme réserves naturelles.
  4. A moins de 500 mètres d’un monument historique, classé ou inscrit au patrimoine
  5. A moins de 200 mètres d’un accès à l’eau propre à la consommation
  6. Les chemins et terrains privés
  7. Sur tous les sites classés dans les zones de protection du patrimoine de la nature.

On pourrait avoir l’impression que ces restrictions nous privent de tous les espaces à visiter mais cette législation concerne principalement le camping sauvage. C’est plutôt logique finalement, vous ne pouvez pas squatter plusieurs jours dans ces endroits qui sont soit protéger soit touristiques.

La règle en bivouac c’est de trouver un emplacement autorisé et de prendre soin de cette espace car il y’a des personnes qui passent derrière vous. Le moyen le plus simple est en général de s’installer à proximité des refuges, vous pourrez y trouver des emplacements conçu spécialement pour camper. Si vous avez des doutes et que vous êtes plutôt du genre à tout organiser vous pouvez aussi vous rendre à la mairie du coin pour connaitre plus précisément les législations et trouver un emplacement conforme au normes de la région.

La réglementation du bivouac dans les parcs nationaux

Les 10 parcs nationaux du pays sont réglementés par des restrictions différentes pour ce qui est du bivouac. Voici la liste des autorisations concernant les 10 parcs nationaux :

Parc National de la Vanoise : Entre 19 h et 8 h, le camping est autorisé dans les parcs à proximité de certains refuges. Mais il est interdit de camper à la sauvage et d’allumer des feux.

Parc National des Cévennes : Le camping est autorisé dans certaines parties du parc entre 19h et 9h : le long des itinéraires de grande randonnées balisés et jusqu’à 50 mètres de la voie. Le camping en camping-car n’est pas interdit, mais strictement géré, et aucun feu n’est autorisé.

Parc National des Pyrénées : Le camping et bivouac est autorisé entre 19 h et 9 h et marchez au moins une heure à partir de la limite du parc ou de l’entrée de la route. Le camping et les feux ne sont pas autorisés.

Parc national de Port-Cros: Le camping sauvage et le bivouac sont strictement interdits dans tout le parc !

Parc national des Ecrins : Le camping est autorisé dans une petite tente entre 19h et 9h, et à au moins une heure de marche de la limite du parc ou de la route. Le camp doit être proche de refuges fréquentés par des itinéraires de grandes randonnées et aucun feu n’est autorisé.

Parc national de Calanques : Les Calanques interdits le bivouac… ainsi que le camping et les caravanes.

Parc National du Mercantour : Bivouac disponible entre 19h et 9h et marchez au moins une heure à partir de la limite du parc ou de la route. Le camping, les caravanes et l’allumage de feux sont interdits.

Parc National de la Guadeloupe : Bivouacs accessible à au moins une heure de marche à partir de la limite du parc ou de la route.

Parc National de la Réunion : Du crépuscule à l’aube (18h à 7h), bivouacs autorisés à proximité de l’itinéraire ou des refuges.

Parc National de Guyane :

Ce n’est pas la peine, les camping sauvage et les bivouacs sont interdits dans tout le parc !

Si vous souhaitez vous informer des dernières restrictions de ces parcs je vous conseils de jeter un œil sur les site internet des parcs, vous aurez accès aux dernières réglementations mises en place.

Top des sites pour faire du trekking en France

Le sentier des Douaniers

Appelé aussi le GR34, 1600 kilomètres et 73 jours de marche et d’immersion le long des côtes et des criques sauvages de la Bretagne.

Tour des Aiguilles Rouges

Une durée en moyenne de 4 jours pour compléter la boucle, avec un dénivelé à plus de 3645 mètres. C’est tout simplement le meilleurs point de vue sur le Mont-Blanc !

Meilleurs période recommandées : Juin à septembre

Les Gorges de l’Ardèche

Un site magnifique avec les plus belles gorges d’Europe ! Plusieurs possibilité s’offre à vous, le tour complet en comptant environ 5 jours ou simplement la traversé sur 1 ou 2 jours

Tour des Lacs d’Auvergne

Appelé aussi le GR 30, un itinéraire autour des lacs et volcans de l’Auvergne, autant vous dire que c’est apaisant. Mais compté en moyenne une dizaine de jours pour compléter cette boucle.

La Grande Traversée du Jura

Praticable en été comme hiver, la grande traversée du Jura vous feras découvrir une vue imprenable sur les alpes et son étendu de montagne boisé.

Compter 20 jours de marché en été et 12 jours en hiver avec l’aide des raquettes.

Gorge du Verdon

Un trek un peu plus sauvage, vous traverserez le grand Canyon du Verdon en pleine nature et vous longé la rivière sur plus de 170 kilomètres, j’espère que vous êtes prêt !

La Traversée des Pyrénées

Appelé aussi le GR10, un trek pour les confirmés. Cette itinéraire demande une bonne condition physique et de la détermination, compter en moyenne 60 jours pour y voir le bout. Cependant il existe aussi des itinéraires plus classiques qui sont adaptés aux débutants, et vous permettant de découvrir la région.

Tour du Queyras

Aussi appelé le GR58 : Voici un Trek pour s’initier à la pratique, des sommets à 3000 mètres avec des magnifique paysages des Alpes, des montagnes côte à côte et l’accès est très facile. Compter environ 130 kilomètres en une dizaine d’étapes.

Recommandé pour son premier Trek !

La Traversée des Alpes

Aussi appelé le GR5, reliant le Lac Léman directement à la Mer Méditerranée. Compter en moyenne 30 jours de marche, une distance longue mais peu techniques, un véritable trek qui vous feras découvrir des région et paysages sublimes.

Le GR20

Un des Trek les plus médiatisé pour ses magnifiques paysages corses. Si vous souhaitez relever le défi attendez vous à parcourir 180 km en 16 étapes, une étape par jour pas une de plus et vous aurez relevé le défi, tout en découvrant les paysages de la corse !

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